L'epistemologie de la philosophe chinoise des Song et Ming

Comment les philosophes de la dynastie des Song et des Ming connaissent-ils le monde ?

Sous les Song(960-1279) et les Ming(1368-1644), les philosophes chonois se préoccupent plus sur les moyens pour connaître le monde, ainsi est formée l'epistemologie à la chinoise. Alors, comment les philosophes chinois connaissnt-ils le monde ? Là-dessous, basé sur les sciences des Song et Ming, nous vous présentons des façons différentes des philosophes chinois pour connaître le monde ?

De Han Yu à Zhang Zai

Han Yu et Li Ao

Sous la Dynastie des Zhong-tang, le bouddhismeHan Yu, le philosophe chinoise de la dynastie de Tang et le taoïsme ont connu une période très florissante. Pour y s'opposer, le célèbre homme de lettres Han Yu (768-824), a écrit des thèses philosophiques que sa postérité appelait les cinq Yuan. Bien qu'il ait été influencé par les façons de donner le bouddhisme du bouddhisme et du taoïsme, il a commencé à établir l'Orthodoxie du confucianisme.

Selon Han Yu, le confucianisme avait développé de l'empereur Yao à Mencius, en passant par l'empereur Shun, l'empereur Yu, l'empereur Tang, l'empereur Zhouwen, l'empereur Wu, Confucius et Mencius. Et puis il s'est interrompu. Han Yu s'est prétendu le successeur de Mencius, dans ses yeux, les moyens contient Ren et Yi, le premier représente la charité, soit l'amour pour tout le monde; le dernière signale la rectitude, soit l'arrangement des affaires. La doctrine de Regagner la nature de l'homme proposée par son élève Li Ao, indique quelques directions de connaître le monde.

Voilà le contenu des opinions philosophiques de Li Ao:

L'opinion sur la nature et la fatalité. D'après Li Ao, ce qu'on a dit dans le livre Le Yi jing et dans les livres confucéens de la dynastie

Xianqin corresponds bien à cette opinio

n, non aux théories du bouddhisme et du taoïsme.

L'opinion sur la sincérité. Li Ao croit que la sincérité est la nature des sages, c'est le niveau le plus haut des saints. Alors les gens de son temps sont séduits par le bouddhisme et par le du taoïsme. Ils ne savaient pas que ces raisons avaitent déjà bien écrites dans les livres confucéens.

L'opinion sur regagner la nature de l'homme. Li Ao affirme le point de Mencius, c'est-à-dire que la nature de l'homme est bonne, que le plus bonne nature sert de la base fondamentale de l'élever. Excepté ceux qui ont une noble moralité, les sages unirent aussi l'univers. Dans cette doctrine de Li Ao, la nature est bonne mais le sentiment est mauvais, néanmoins, la première fait la fondation pour le dernier. Il compare les bonnes qualités d'un homme avec la clarification du sable dans l'eau. Enlever le mauvais sentiment et rétablir la pure nature, c'est regagner la nature de l'homme.

Sous l'influence de la philosophie bouddhique, Han Yu et Li Ao proposent: il a apparu dans la dynastie Xianqin une esprit philosophique de l'epistemologie, plus mûr et plus pur que le bouddhisme. Cette opinion avait inspiré la restauration de la philosophie chinoise. Même si de nos jours, face à la puissance de la philosophie occidentale, les philosophes chinois doivent apprendre l'espris de Li Ao pour la s'améliorer.