Shao Yong

Le philosophe grec Pythagoras considère les nombres comme l'origine du monde, alors le philosophe chinois Shao Yong(1011-1077), vivant sous la dynastie Beisong(960-1127), a introduit les nombres dans la philosophie et a mit la base numérale de Zhou Yi à la phylosophie. Il est devenu donc le fondateur de Meihua Yi-shu, et le philosophe qui connaissait le monde avec les nombres.

Dans sa jeunesse, Shao Yong a travaillé sérieusement et assidûment. Quelque années après il a saisi la moelle de Zhou Yi. Dessin congénital est incorporé dans le système de Zhou Yi, ainsi a éclaté dans l'histoire philosophique. Il s'est retiré à Luoyang pendans ses dernières années en écrivant le livre Huang ji jing shi shu, où il a créé un vaste système sur l'astrologie et l'étude de Zhou Yi, qui influençait beacoup les recherches de la dynastie des Yuan, celle des Ming, celle des Qing.

Temple de Shao Yong situe dans la provence de Henan.
Temple de Shao Yong situe dans la provence de Henan

Son recherche prend le coeur pour la nature. Ce coeur s'applique à toutes les créatures non seulement les hommes. D'après lui, tout est produit par le coeur . Il met le coeur dans une place aussi importante que Tai Chi. Quand le coeur se trouve au milieu du ciel, la voie vers le ciel joint la voie vers ce monde.

Sur l'étude de Zhou Yi, il considère la recherche congénitale comme une expression du coeur, la recherche postérieure comme l'apparence causée par le coeur. Mais toutes ces deux recherches sont correspondantes et ne changent jamais comme les mathémathiques.

A ses yeux, on ne doit pas observer avec les oreilles ou les yeux, mais avec le coeur. Avec ses organes concrets, on ne peut examiner que les formes des choses. Il prend le miroir de l'eau comme l'exemple: bien que l'eau peut manifeste toutes les formes, elle ne se conforme pas aux natures. Pour les sages, ils voient les choses comme elles sont, sans aucun sentiment subjectif. Cela s'adapte bien aux natures des choses. Si on dit que les sages peuvent ateindre au niveau d'oublier leur-même, c'est parce qu'ils répondent aux changements des choses et comprennent leurs natures.