Lu Jiuyuan: Sans coeur, l'univers n'existe pas

Beaucoup de philosophes occidentaux poursuivent la vérité alors les philosophes chinois préfère à Dao. Pour les philosophes occidentaux, la vérité est l'objet de porsuivre, ils doivent explorer la vérité de l'univers, l'expliquer, la saisir et l'interpréter. Les philosophe chinois,surtout l'école d'esprit, pensent qu'il faut mettre l'accent sur l'expérience du taoïsme, puis explorer les connaissances et les expériences personnelles.

Lujiuyuan (1139-1193) est le représentant de l'école d'esprit de la philosophie chinoise. Il est né à JinxiQing-tian (maintenant Linchuan) dans la provence de Jiangxi, d'une famille du pharmacien. Il était un enfant faible de constitution, mais fasciné par des problèmes comme est-ce que l'Univers a des frontières philosophiques? A treize ans, insatisfait des paroles de Cheng Yi, il a présenté que l'univers est mon cœur, mon esprit est l'univers, ainsi on est obligé de le considérer comme un philosophe précoce. Il a souvent enseigné à Guixi Xiangshan, les chercheurs l'appelait M. Xiangshan. Il a parlé à ses élèves: l'esprit se mélange avec l'univers, l'univers n'existe pas sans le coeur de l'homme, de plus, l'univers fait une partie de ma vie. Cet esprit est la continuation de Mencius, mais en fait, c'est lui qui l'a principalement compris.

D'après Lu Jiuyuan, les cœurs de l'homme sont les mêmes, de temps immémorial tout le monde possède un même cœur. Si on fait tous ses efforts , on peut répondre aux chemain du ciel. Le cœur et la raison ne se séparent pas, ils ne sont pas privés et spécifiques, mais publics et généraux. Le monde peut confluer vers un seul esprit, ainsi que la justice. Toutes les choses peuvent être manifestées ensemble au cœur, et la raison du cœur peut remplir l'univers.

La Bibliothèque E'hu où Zhu Xi et Lu Jiuyuan discutent. 

Quant à la façon de bien comprendre le monde, Lu Jiuyuan pense que les gens se contentent de ses désirs égoïstes de sorte qu'ils sont faciles à s'écarter du droit chemin, il faut donc accéder à un certain décollement pour inventer l'esprit de la nature. Si cela est reflété dans la connaissance, c'est de se lever le grand cœur dans la justice, il l'a appelé le premier qui l'a établi est le grand homme. Le travail des anciens: la conservation du coeur, l'élevage du cœur et l'assurence du coeur, soit laisser la conscience dominer la tendance spirituelle de l'homme et s'exprimer dans tous les aspects de la vie. Si on peut atteindre à cet état, c'est comme le fleuve coule rapidement vers la mer, déferlé et irrésistible. Il a proposé d'y réfléchir profondément pour entrer de la vie quotidienne, et faire peau neuve. Ses conférences ont souvent un fort appel.

Lujiuyuan n'a jamais écrit un livre, il pense que les classiques confucéens sont les manifestations de la raison du cœur, donc ce n'est pas nécessaire de mettre beaucoup d'efforts à les expliquer. Il a préconisé la réflexion à l'intérieur du travail facile. En 1175, Zhu Xi et Lu Jiuyuan ont eu un rendez-vous au Temple E'hu de XinZhou (maintenant situé à Shangrao de la provence de Jiangxi) pour tenir un débat académique, cette réunion a été une rencontre la plus importante dans l'histoire du confucianisme chinois. Ils se sont séparés sur un raisonnement et ne peuvent pas convaincre l'un l'autre. Lu Jiuyuan écrit cette réunion dans un poème. Il a souligné sa différence sur la méthode d'apprentissage de celle de Zhu Xi, « il a vanté sa méthode, satirise Zhu Xi, qui n'a pas de riches lectures, et revient à l'original d'entreprise fragmentée. »