Zhou Dunyi

Zhang Zai(1027-1077), lors de sa jeuness, son pays était dans l'état des troubles intérieurs et des invasions extérieurs. Il a écrié à Fan Zhongyan de résister l'ennemi Xixia avec les forces armées. Fan lui a refusé et a fait relire le livre Zhong Yong. Zhang Zai a suivi ses conseilles et puis, il a continué à étudier le bouddhisme et l'esprit de Zhuangzi. Enfin, il a saisi les idées du confucianisme.

Zhang Zai est un philosophe assez simplement. Il avait connu tous ses peines et ses souffrances pour étudier Commentaire sur Yijing, et a fini par créer son système philosophique. Il a enseigné lontemps dans les régions Guanzhong de sorte qu'il était considéré comme l'initiateur de l'étude Guan.

Dessin de Tai chi par Zhou Dunyi
Dessin de Tai chi par Zhou Dunyi

Il a hérité les idées de Mencius : pour comprendre la nature et le ciel il faut dévouer tout le coeur. Les esprits des hommes ordinaires sont entravés par leurs expériences, ainsi, on peut voir partout leurs ombres, soit le trace de Je. Cependant, le ciel n'a pas les frontières, également, les esprits enchaînés ne peuvent voir la totalité. Cela demande un grand coeur à connaître les choses, de cette façon, à connaître tout le cosmos.

D'après Zhang Zai, l'homme vient de la terre, donc il est pourvu de la nature du ciel et de la terre. S'il devient impur, c'est à cause de ses expériences successives. L'homme doivent apprendre les bonnes choses à travers de l'apprentissage, afin d'atteindre à un niveau idéal. Puisque notre corps se tient entre le ciel et la terre, leur souffle nous appartient, et les autres sont nos camarades, y compris les autres choses. Il faut porter une charité et un amour pour le peuple et les choses. Alors la naissance et la mort,laisse- les s'adapter à leur développement.

Zhang Zai a poursuivi l'amour avec un grand coeur pour les choses. L'état le plus idéal de son rêve était décrit comme cela: il faut mettre un grand coeur entre le ciel et la terre pour s'occuper de toutes les choses; il doit se soucier de la vie du peuple pour le fixer; il convient de succéder les avantages des sages pour établir un monde pacifique.