Cosmologie chinoise sous la Dynastie des Han

Sous les Hans, on pense qu'il y a au moins cinq dimensions dans la cosmologie; au début, les confucianistes et les fortune-parleurs combinent la théorie du Yin-Yang(Yin-Yang) et de Wuxing(cinq processus) et représentent le cosmos en nombres et en images; Dong Zhongshu donne l'identité de l'homme au cosmose et pense qu'il y a des liens sentimentaux entre le ciel et l'homme. D'après le Daoisme, il existe dans ce monde des « pilues fabuleuses » qui peuvent donner l'immortalité aux hommes. Ce système religieux est propre à la Chine. L'ouvrage BaiHulong ouvre une perspective morale du monde et établit les pensées de « trois guides-codes » (San Gang) et « Six vertus » (Liu Ji), qui donneront une influence profonde sur l'ordre de la morale chinoise. Wang Chong interprète le monde sous la forme de la nature (Xing性) et le psycho-matériel et explique la relation entre la nature de l'homme et le déroulement du psycho-matériel.

Le Diagramme Cosmologique Partageant de Confucianistes et Diseuses de bonne aventure

L'esprit philosophique de Zhou Yi, « clarifier des affaires humaines en comprenant le dao de Han, » a été largement accepté comme le sens commun. Il était naturel de considérer que le dao de Han comme des affaires humaines étaient mutuellement efficaces dans la Dynastie Han. L'école yin-yang a construit une vue systématique du cosmos dans l'ère de pré-Qin et il a été combiné avec l'École d'image-numéro dans des études de Zhou Yi dans la Dynastie Han, formant un système extrêmement compliqué de diagrammes d' image-numéro. Cela a été principalement construit avec les concepts d'yin et yang, correspondant exactement avec cinq processus, quatre directions, quatre saisons, cinq tons, douze mois, douze rythmes, dix Tiges Célestes et douze Branches Terrestres. L'école d'yin-yang et les cinq processus ont été d'abord appliqués pour interpréter les changements de choses innombrables dans le cosmos et ensuite adopté largement dans des disciplines différentes, comme le calendrier, la musique, la médecine et les mathématiques, servant de la fondation pour la science antique chinoise. Le diagramme d'image-numéro basé sur l'yin-yang et les cinq processus a servi de la fondation scientifique pour les vies réelles de chinois antiques. Voir plus

La Personnification de Dong Zhongshu de tian comme l'Arrière-grand-père d'Homme

Dans la Dynastie des Han, l'étude traditionnelle des classiques Confucéens a été construite et elle peut se diviser par une Vieille École de Texte et une Nouvelle École de Texte, qui indiquent deux méthodes d'interpréter les Six Classiques antiques (liujing). La Nouvelle École de Texte a été écrite en formes d'écriture de la Dynastie Han et s'est concentrée sur la signification de réalité. La promotion de Dong Zhongshu (179-104 av. J.-C) concernant l'interprétation de Gongyang des Annuaires du Printemps et Automne (chunqiu) l'a rendu populaire.Voir plus

Ethiquisation : « Trois Codes éthiques » et « Cinq Principes »

L'an 79, quatre ans après l'établissement des Hans de l'Est, l'Emprereur Zhang a rassemblé beaucoup de confucianistes dans le Temple BaiHu pour discuter les points communs et points différents des cinq Classiques. La Mémorandum de la Conférence BaiHu collectionnée par BanGu montre l'idée principale de cette conférence. Ce livre hérite de la théorie de communication entre l'homme et le ciel de Dong Zhongshu, et mystifie les nouveaux textes contemporains, codisie la théologie et constitue une encyclopédie sommaire des Classiques. Dans ce livre, les pensées sur la morale sociale, les « Trois codes-guides » et « les Cinq Principes éthiques » donneront une influence profonde dans l'histoire chinoise.

Cosmologie chinoise sous la Dynastie des Han, Philosophie Chinoise
Oeuvre de Dong , Rosées luxuriantes des Annuaires du Printemps et Automne

Les cinq Principes éthiques sont humanité, justice, politesse, sagesse et fidélité. Ils sont pour régler et standariser les conduites entre roi et sujet, père et fils, frères, mari et femme, et amis. Les gouverneurs anciens soutiennent ces idées pour soutenir et garder l'ordre sociale et les relations interpersonnelles.

Dans le BaiHutong, l'idée que le Yang est supérieur et le Yin est inférieur a développé dans la relation éthique et devient lie norme des trois codes. Basé sur cela, on a proposé trois vertus de l'obéissance de la femme et moralisé la théorie de la cosmologie sous les Han, ce qui donne des fondements théoriques pour l'ordre éthique de la société traditionnnelle. Son essence se présente comme suit: les relations sociales sont plus importantes que l'unité, la relation sociale d'un homme détermine aussii les règles éthiques de ses conduites. C'est-à-dire, la volonté d'agir d'un homme est déterminée par les relations sociales.

Interprétations de Huan Tan et Wang Chong sur le cosmos à travers Xing(narure) et Qi

Dans les dernières années des Han de l'Ouest, la pensée deWang Chong, Philosophie Chinoise ChenWei (qui prétend que le pouvoir souverain est supérieur de tout) est à la vogue, mais il y a aussi des contrecourants: Huan Tan (environ 237-50) pense que la pensée de « Chen Wei » n'a pas de fondements théoriques solides, donc il écrit « La Nouvelle Théorie » pour réfuter cet état d'esprit. Parmi ses points de vue, celui sur la forme et l'esprit est le plus connu, il emprunte la comparaison de la relation entre la bougie et le feu pour interpréter celle entre le corps et l'esprit: l'existance du feu dépend de la bougie, une fois la bougie est utilisée à bout, le feu disparaîtra. Le feu ne peut pas exister dans le vide.

Son point de vue soutient que l'existance de l'esprit est basée sur le matière.

Wang Chong (environ 27-97), très intègre, il a été petit fonctionnaire plusieurs fois, mais chacun ne dure pas lontemps. Plus tard, il revient à son pays natal dans le sud et s'applique à écrire De l'harmonie. Sur le plan de l'esprit, il est un philosophe au sens propre qui éloigne la société banale. Il féfie la théorie sans fondement de la théologie de « Chen Wei » et a pour but de critiquer les esprits des courants dominants. Il n'a pas fait de grandes rénovations dans la philosophie, ses pensées ont souvent des points faibles, mais ses idées sont originales, en particulier, ses esprits de « détester l'hypocrisie », d'« être indépendant et ne craindre rien » lui font distinguer des autres.

Wang Chong pense que Qi est la base de tous les êtres du monde. Le Qi est la matière, la nature, il n'a pas de volonté. Tous les êtres sont dans la nature ils constituent les formes des variations de Qi, qui a pour caractéristiques « nature » et « ne rien faire ». Le mariage du Qi, celui de la terre avec le ciel donne naissance à l'humanité, tout comme la combinaison du Qi du mari avec sa femme fait naître un enfant. Le ciel et la terre font naître l'homme, cela n'a pas de préarrangement. Le ciel n'a pas de volonté, ni de communication avec l'homme. Mais il soutient le fatalisme à la place de la théorie de résonnance entre le ciel et l'homme, et pense que le sort de l'homme est quand même prévisible.