L'étude du bouddhisme sous la dynastie des Sui et celle des Tang : le monde est vide

D'après la légende du bouddhisme, son initiateur, Siddhartha Gautama est le prince du Roi Jingfan , son nom veut dire le riz pur. Siddhartha est né avant J.C.565 et mort entre avant J.C.490 et avant J.C.480. Dans sa jeunesse Siddhartha a vécu une vie luxueuse. De peur que son fils ne voie une vie misérable, le Roi lui a défendu de contacter tout ce qui était désasteux au monde, et a espéré sa vie toujours sans souci. Mais une fois, Siddhartha est sorti de la cour royale par hasard et il a vu beaucoup de malheurs comme la naissance, l'âge, la maladie et la mort etc. Il est tombé dans une émotion très vive et profonde, et a décidé de délivrer les hommes de leur douloureuse situation comme son devoir. Dans l'âge de 29, après avoir sorti de la cour, il a commencé une vie extrêmement ardue comme un bouddhiste. Six ans après, il a saisi le méthode de sauter de la mer de peines sous l'arbre de la bodhi. Pendant les quarante années suivantes, Siddhartha a transmit aux environs de Fleure Heng son intelligence du bouddhisme, a créé ensuite le bouddhisme, sanctifié comme le Bouddha Sâkyamuni.

Selon l'étude bouddhique de Sâkyamuni, la vie contient huit douleurs: naissance, âge, maladie , mort, rencontre de ceux qu'il déteste, séparation avec ceux qu'il aime, obtention ce qu'il veut et cing florissants skandhas. Les raisons de ces douleurs sont les karmas résulté de ce qu'on a dit et ce qu'on a fait, c'est-à-dire, le karma d'esprit, le karma de parole et le karma de corporelle action. Si on a du karma, on aura dueffet, et puis de l'empoisonnement. Pour s'en affranchir, il faut atteigner la situation de Nirvana. Il y a trois méthodes pour la développer: discipline abbatiale, méditation, et intelligence. Le premier est de respecter les disciplines abbatiales et puis vivre une vie régulière avec les mots et les actions totalement gentils; le deuxième, saisir le vrai sens de « vide » dans la méditation; le dernier, insister fermement à la compréhension et idée convenable.

Le mahâyâna bouddhisme a apparu en Inde entre le premier et le quatrième siècle, il était représenté principalement par la Sagesse transcendante. C'est une théorie du Mahâyâna caisses vides crée par un bouddhiste indien Nagarjuna, ses chef-d'oeuvres, Théorie de centre, Théorie de douze chapitres, Théorie de grande intelligence. L'objet de cette théorie: toutes les créatures sont construites selon toutes conditions.

Entre la fin de la dynastie Xihan et le début de la dynastie Dongha le bouddhisme est introduit en Chine. On a dit qu'un soir de l'année 64, l'empereur Hanming a rêvé un grand homme de l'ethnie Jin, avec la tête entourée par les lumières, il tournoyait sur les toits. Le lendemain, son ministre lui a expliqué, c'est parcequ'il avait rêvé le bouddhiste de l'Occident. L' empereur donc a fait aller en Occident pour prier le bouddhisme. Les statuts et les livres bouddhiques étaient rapportés par les blancs chevals et mis au Temple de Baima de la ville Luoyang. On a commencé à traduire en chinois depuis l'année 67.

Au début de l'introduction du bouddhisme, pour bien comprendre les concepts élémentaires de la Sagesse tanscendante comme L'impossibilité des disciplines et L'exsistence faux, on a fait souvent des explications avec le néant et l'exsitence de la métaphysique, soi-disant Geyi (expliquant le concept de la comparaison de la culture internationale). Dans les premiers livres canoniques de la Sagesse transcendante, on ne compenait pas bien leur sens primitif jusqu'à l'apparition de la traduction de L'étude de Doctrine intermédiaire, écrit par Nagarjuna et traduit par Kumarajiva. Et puis, la Sagesse tanscendante a résussi à distinguer Sunyata(\a vacuité) du néant.

Sengzhao : Fondateur du systhème phylosophique du bouddhisme à la Chinoise

Depuis l'arrivée de Kumarajiva à Chang'an en 401, le milieu du bouddhisme chinois pouvait bien comprendre Sunyata. Son disciple, Sengzhao (384-414) était appelé par Kumarajiva le premier qui explique Sunyata. On peut dire qu'il est le fondateur du systhème phylosophique du bouddhisme à la chinoise. Son chef-d'oeuvre est Les Théorie de Zhao. Il critique les différentes opinions d'expliquer Sunyata sur la métaphysique et expose les points de vue élémentaires dans la Doctrine intermédiaire de la Sagessse transcendante.Voir plus

Xuanzang et la fraction de la seule Connaissance

Xuanzang(596-664) est l'initiateur de la fraction de la seule connaissance. Après s'avoir fait moine dans son enfance, il a poursuivi la plus grande vérité du bouddhisme. Il n'était pas satifait de l'état d'alors bouddhique chinois. Il a vu que dans les traductions des chef-d'oeuvres bouddhiques, il existait pas mal de fausses interprétations et compréhensions. Par conséquent, il a décidé d'aller en Inde pour chercher les livres canoniques du bouddhisme, malheureusement, c'était interdit. En automne de l'année 629, il a profité d'un révolte pour quitter la ville Chang'an, et a commencé alors son dur chemin de chercher les chef-d'oeuvres. Voir plus

La Fraction Tiantai et son fondateur Zhiyi

De la Dynastie des Sui à la Dynastie des Tang, la scission du nord et du sud de la Chine développe vers la grande fusion, cela a influencé le bouddhisme chinois de cet époque et reçu un grand succès. Parmi les différentes opinions intéressantes de la Phy-losophie mondiale dans le Bouddhisme, ce qui a affecté le plus prondement la phylosophie suivante, c'étaient la fraction Tiantai, la fraction de la seule Connaissance, la fraction Huayan. Voir plus

Fazang et la fraction Huayan

Fazang (643-712) est le créateur de la fraction Huayan. Il avait expliqué le Soutra Huayan à la seule femme empereur Wuzetian, qui lui a conféré le titre Grand maître Xianshou . A ce moment-là, Fazang s'est chargé du bouddhisme da tout un pays, son poste égalait Le grand maître national. Et son chef-d'oeuvre, la fraction Huayanjing constitue un ancien livre important du bouddhisme à la chinoise, aussi la forme la plus développée de la compréhension phylosophique du bouddhisme chinois sur le monde.

Un essenciel théorie de cette fraction est Fajie yuanqi wuai. Fajie est Fazang—Grand maître Xianshou un ensemble idéal du parfait milieu bouddhique. Y compris la raison, soit la nature Sunyata de tout; et le fait, soit les phénomènes causés par Sunyata . Toutes ces conditions se combinent et forment les divers Fajie. La relation d'entre la raison et le fait est comme celle d'entre l'eau et la vague. On considère la raison comme l'eau, une essence, et le fait comme la vague, un phénomène extérieur.

Donc la raison, le fait, et les autres choses, ils se supportent l'un l'autre harmonieusement. Mais comment comprendre cette opinion? Fazang a fait une comparaison avec le lion d'or pour l'expliquer.

Le lion d'or est fabriqué de l'or. Quand on le voit, on peut sentir la figure de l'or et du lion. Ainsi, on dit que l'or est comme la raison, et que le lion comme le fait; l'or représente un de la nature, le lion est l'incarnation de plusieurs des phénomènes. Un et plusieurs se supportent l'un l'autre, mais ils sont quand même différents. D'ailleurs, les parties faites du lion d'or sont interdépendantes mais indépendantes. Si l'on fait plus d'attention à l'or, on ne voit pas le lion, et vice versa. L'essence et le phénomène se cachent en même temps ou bien sont apparents, en tout cas, ils existent ensemble. Cette idée s'applique à toute domaine.