Sengzhao : Fondateur du systhème phylosophique du bouddhisme à la Chinoise

Depuis l'arrivée de Kumarajiva à Chang'an en 401, le milieu du bouddhisme chinois pouvait bien comprendre Sunyata. Son disciple, Sengzhao (384-414) était appelé par Kumarajiva le premier qui explique Sunyata. On peut dire qu'il est le fondateur du systhème phylosophique du bouddhisme à la chinoise. Son chef-d'oeuvre est Les Théorie de Zhao. Il critique les différentes opinions d'expliquer Sunyata sur la métaphysique et expose les points de vue élémentaires dans la Doctrine intermédiaire de la Sagessse transcendante.

Par Sengzhao on ne peut apprendre littéralement le sens de Sunyata et considérer non-existence comme sans existence, ni non-néant comme sans néant. Il critique que la métaphysique rends néant absolu, conseille de connaître la fausse nature propre de toutes les choses. Elles sont nées ou diparaissent à cause des facteurs. Sans la propre nature indépendante, ce n'est pas la vraie existence, donc la fausse existence; la fausse existence, ce n'est pas vrai, donc Sunyata. Bien que la nature de toutes les créatures soient vide, cela ne veut pas dire le néant absolu, car il paraît exister l'existence; cependant, ce n'est pas un vrai et éternel existence. En apparence existence mais en réalité néant. Par conséquent, l'essence de tout les deux consiste à Sunyata. Toutes les créatures sont naturellement irréelles. D'après Zeno, méthématicien grec archaïque, lors du vol d'une flèche, il y a une seule position momentanée pour chaque instant. Quand elle est dans cette place de son vol, il n'y a pas de différence de son immobilité. Le grand homme de la Dynastie Xianqing, Huishi, a posé presque la même opinion. Sen-gzhao s'oppose aussi ce point: changement incessant de toutes les choses. Selon lui, les choses vécues ont déjà dispparu dans le passé donc elles ne peuvent êter trouvées en ce moment, cela représente que les choses ne peut exister depuis le passé jusqu'à présent; néanmoins, le passé est évidemment existant, mais il est impossible de revenir dans le passé pour les choses. Ainsi, les choses du passé restent là, ni retournent d'aujourd'hui; les cho-ses d'aujourd'hui restent ici, ni durent du passé. Les différentes choses n'ont pas la continuité de nature à chaque étape. Le vent qui peut souffler les montagnes à s'effondrer n'est pas gand; les fleuves qui coulent à flots ne sont pas les courants impétueux; les poussières flottantes ne bougent pas en réalité; le Soleil et la Lune qui fonctionnent jour et nuit ne font pas des tournées. Selon lui, la sagesse du bouddhisme, en fait, c'est rien à savoir, seulement l'ignorance est le plus intelligente du bouddhisme. Si l'on s'attache aux connaissances concrètes, on aura toutes les sortes d'ennuis; la vraie intelligence du bouddhisme est Sunyata, qui n'est pas une connaissance sur une concrète chose. On peut dire anssi l'ignorance. Saisir certaines choses concrètes, ignorer ab-soluement les autres. Il faut donc prendre le conscient de Sunyata et de l'ignorance pour tout savoir. De ce fait, l'ignorance égale l'omniscience.