Xuanzang et la fraction de la seule Connaissance

Xuanzang(596-664) est l'initiateur de la fraction de la seule connaissance. Après s'avoir fait moine dans son enfance, il a poursuivi la plus grande vérité du bouddhisme. Il n'était pas satifait de l'état d'alors bouddhique chinois. Il a vu que dans les traductions des chef-d'oeuvres bouddhiques, il existait pas mal de fausses interprétations et compréhensions. Par conséquent, il a décidé d'aller en Inde pour chercher les livres canoniques du bouddhisme, malheureusement, c'était interdit. En automne de l'année 629, il a profité d'un révolte pour quitter la ville Chang'an, et a commencé alors son dur chemin de chercher les chef-d'oeuvres.

Après un long voyage pénible, Xuanzang est arrivé dans le temple Nalanda. C'était un connu établissement d'enseigne de l'Inde, où il apprenait travailleusement ce qui conserne le bouddhisme. Avant la revenue en Chine, il avait participé à l'Assemblé Wuzhe de l'Inde où il a préparé un article. Personnene pouvait trouver les fautes là-dedans. Et puis Xu-anzang a reçu une grande réputation au champs du bouddhisme de l'Inde. En 645 il est revenu à Chang'an, recevant le bienvenu du peuple. Il avait apporté de l'Inde beaucoups de reliques, de statuts bouddhique, et encore 657 bibles du bouddhisme. On peut trouver cet expérience dans Le Pèlerinage vers l'Ouest, écrit par ses élèves.

Après l'arrivée en Chine, Xuanzang a commencé à traduire plus d'un mille trois cents bibles du bouddhisme. Cela faisait partie de presque la moitié des livres bouddhiques de la Dynastie des Tang. Les traductions de Xuanzang et de Kumarajiva ont fait époque.

Il a créé la fraction de la seule connaissance. Son opinion fondamentale est que Dharma dépends de la conscience, et que toutes les choses sont ses manifestants. La conscience est plus important que l'objet.

Selon les différents niveaux compris, la fraction de la seule connaissance indique les trois caractères de tous les objets du monde. On fait une comparaison pour l'expliquer : quand on voit une corde dans le noir, on la considère facilement comme un serpent. C'est parce qu'on a donné l'image de serpent à cette corde soit Bianjisuozhi; mais en fait, c'est seulement une corde fabriquée de chanvre, soit Yitaqi ; enfin on découvert le vrai cas, soit Yuanchengshi.

Évidemment, le sens de Bian ji suo zhi xing, quand on attache à les choses, on va les distinquer et comparer, ensuite, il croit leur réalité; celui de Yi ta qi xing, tout provient de la conscience et constitue une fausse apparence; le dernier, la nature parfaite et réelle. Si on veut évoluer dans l'état du bouddhiste, il lui faut reconnaître ce point-la, les choses figurent ou bien disparaissent à cause de l'idée de coeur.