Xiong Shili et le néo-confucianisme

Xiong Shili(1885-1968) est considéré comme le philosophie le plus créatif en Chine de vintième siècle. D'originaire d'une famille de professeur, il a gardé des buffles depuis sept ans pour gagner sa vie. Après il s'est lancé dans la révolution contre le gouvernmrnt. Voyant les administaires se disputer le pouvoir et le profit, il sentait misérable donc en est sorti pour s'appliquer à son étude. Quand une fois il a visité la maison de Zhou Dunyi, philosophe de la dynastie Song, il a décidé de créer une nouvelle école. Si Zhou est considéré comme l'initiateur de la philosophie Song-Ming, Xiong Shili est appelé comme le créateur du néoconfucianisme.

Depuis 1920, Xiong est allé à Nanjing pour apprendre le bouddhisme au professeur Ou yang jing wu. Bien qu'il eut vécu une vie pénible à ce-moment là, il travaillait très stitueusementument. En 1922, il était découvert par le directeur de l'Université de Beijing et sélectionné comme l'enseignant du bouddhisme. Dix ans après, il a publié les opinions de nouveau WeiShi, qui était attaqué par des amis du milieu bouddhique. Par exemple LiuHeng a écrit Lutter contre les opinions de nouveau WeiShi, ensuite Xiong a encore rédigé Lutter contre Lutter contre les opinions de nouveau.

Cependant il y avait encore des personnes comme Cai Yuanpei, Ma Yifu qui ont estimé les opinions de nouveau WeiShi.

Le sujet du Chef-d'oeuvre est la conformité du coeur et de la matière, de l'essence et du phénomène. Selon lui, le défaut du métaphisique occidental consiste à séparer l'essence et le phénomène, le cœur et la matière, le sujet et l'objet, la vie et le cosmos, le rêve et la réalité etc. Mais son propre point de vue est juste contraire: l'essence se change et se développe soi-même. Le cœur du cosmos correspond bien à celui des choses concrètes.

Quoiqu'il n'ait pas reçu l'entraînement systématique, Xiong est d'accord avec des avis de Whitehead et de Henri Bergson. Il souligne la créaction du coeur, et croit que le cosmos est un processus où le cœur concrétise les choses. Commencé par l'unité du ciel et de l'homme et par celle de l'abstraction et du concret, il a démonstré la conformité de l'essence et du phénomène, en poussant l'esprit philosophique de la traduction chinoise au sommet qu'il a bien exprimé.

Depuis Xiong, la philosophie du néo-confucianisme de la Chine a tenu la conversation avec la philosophie occidentale.

La stèle avec des inscriptions devant le Tombeau de Liang Shuming

Liang Shuming(1893-1988) espère confondre l'esprit confucianiste et la pilosophie de la vie de Henri Bergson. Regardant le désir comme la base du cosmos, Liang fait communiquer la tradition philosophique et l'évolution contemporaine. Il considère que le monde est une phase du changement plein de vitalité. Il emprumte les idées de Henri Bergson: s'il faut pratiquer l'esprit du cosmos, absolument en traversant du corps de l'homme. Il avait profondément étudié le bouddhisme et l'avait enseigné au Département Philosophique de l'Université de Beijing. Aux ses yeux, pour connaître le monde, l'intuition est plus crédible que la raison; il y a trois directions du développement de la culture mondiale, les Occidentaux et les Etats-Unis, la Chine et l'Inde; il doit transformer le confucianisme et diffuser son esprit de valeur.

Mou Zongsan(1909-1995) a retraduit les trois critiques du philosophe allemand Kant, essayant de fusionner la philosophie confucianiste et la philosophie de Kant pour créer le métaphisique moral du confucianisme. Il développe les règles de la moralité au niveau de la substance spirituelle. Il aspire à la fusion de la science occidentale et de l'esprit culturel démocratique.

Tang Junyi (1909-1978), comme le chef du néo-confucianisme à Hangkang, tente de comprendre la philosophie chinoise et occidentale, et construire un monde littéraire du métaphisique moral du confucianisme. En 1958 il a rédigé « La Déclaration pour tous—nos connaissances communes sur la recherche acathémique et le futur de la culture mondiale », où ont signalé Xu Fuguan, Mou Zongsan, Zhang Junli. C'était les principes spirituels des confucianistes. Tang succède les recherches de Xiong Shili et encore les innovent. Il a bien profité des ressources de la philosophie occidentale.

Fang Dongmei (1899-1977) a pour la base l'esprit confucianiste, confond les deux différentes philosophies. Il se croit d'être confucianisme en famille, taoïsme en tempérament, bouddhiste en pratiquer la religion mais occidental en éducation. Il indique les quatre traditions de la philosophie chinoise: Confucianisme, taoïsme, bouddhisme, et néoconfucianisme, espérant montrer un nouveau chemain pour la modernisation culturelle et philosophique. Sous le cœur de la vie, son opinion établit l'encadrement de l'essence. Il a crétivement expliqué et développé Zhou Yi.