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A la fin de dynastie Qingja société est obscure. Le père de Huang 
Zongxi, Huang Zunsu(1610-1695), calomnié par les malfaiteurs, est condamné à mort. Après la succession du roi Chonzhen,o n punit les malfaiteurs, ce n'est qu'aux tribunaux le fils, seulement 19 ans, donne un coup de couteau à l'ennemie de sa famille. Cette action montre sa vaillance.
Puis Huang Zongxi, comme l'élève de Liuzongzhou, un confucianiste, adhérer au groupe politique « fushe » pour lutter contre les eunuques du palais. Comme le déclin du dynastie Ming, Huang s'engage aux campagnes de « Anti Qing revenir au Ming », mais échouées les actions, 8 ans après, il revient à l'école pour faire l'enseignement, et écrire beaucoup de livres, Ming Yi Dai Fang Lu, Song Yuan Xue An, Ming Ru Xue An .
Dans le domaine de l'idée philosophique, il est d'avis de « tout contacte le cœur » -l'idée de Wangming, celui-ci pense que le cœur est l'origine de tout l'univers, le cœur équivale « Qi », les activités de « Qi » sont celles du cœur.
Huang critique sévèrement la société de l'autocratie, on peut prendre pour son Ming Yi Dai Fang Lu une déclaration de l'humanité de XVIIe siècle, il indique que l'homme est égo? ste, donc la responsabilité du roi est d'amener l'intérêt publique et d'éliminer le fléau public. Mais les rois ne pensent que tenir toutes les richesses, ils ont une ambition de posséder tout le monde,les rois comme? a, ne sont pas le vrai chief de ses peuples. Et Huang aussi croit que les fonctionnaires doivent mettre l'accent sur la publique au lieu de sur le roi.
Il préconise la liberté d'opinion, et considère que l'école doit être une institut de conseil, on peut y discuter les différentes opinions, il soutient la proposition « le peuple est plus important que le chef ».
Son Song Yuan Xue An et Ming Ru Xue An est quand même des documents importants pour étudier aujourd'hui, ces deux œuvres sont aussi un témoin sur le développement de la philosophie chinoise.
Fang Yizhi était né d'une famille noble, il était plus jeune que Huang Zongxi, ils ont tous connu la déclin du dynastie Ming et la destruction de famille. A la fin de Ming Fang Yizhi était le chef de l'institut HanLing. Après l'attact de Li zicheng, Fang escape au sud et puis vais au Guangdong.En 1650, l'armée Qing attaque guilin et guangzhou, Fang Yizhi s'enfuit encore une fois, puis devient moine. Ses grands œuvres sont Wu Li Xiao Shi, Dong Xi Jun etc.
Fang connait bien le missionnaire Tang ruowang, qui vient en Chine pour apprendre « Tongji » (philosophie), « Zhice » (physique), « Zaili » (économie).
Fang Yizhi admet la théorie occidentale et possède une propre compréhension sur l'idéalisme.Il admet l'existé de matériel entren le ciel et le sol, en même temps,accepte la pensée que le coeur est le centre du monde.
Dans sa jeunesse, Wang Fuzhi ( 1619-1692) s'occupe de l'actualité et rêve de révolutionner la société. A la fiin de la dynastie des Ming, l'armée de paysant guidé par Zhang Xianzhong se battirent jusqu' à Hengyang, une ville de la provence Hunan. Il avait envie d'embaucher Wang et son grand frère, qui s'enfuirent dans les montagnes. L'armée kidnappa leur père pour les menacer. Wang se blessa et fit envoyer au camps, de cette façon il résussit à sauver son père. Puis il employa une ruse afin de s'échapper. En 1648, il lança une attaque sur le gouvernement Qing mais échoua. Ensuite il se retira au sud de la provence où il écrivit beaucoup d'oeuvres. Quand le nouveau état commença à gouverner le pays, Wang refusa de l'accepter. Il fit de nombreux commentaires et explications sur les chef-d'oeuvres philosophiques d la Chine. Sous la guide de cet esprit Sisy-phus, Wang défendit la philosophie chinoise.
Chef-d'oeuvre de Wang Fuzhi Ou Tong Jian Lun
Dous la dynastie des Ming l'esprit et les recherches de Wang Yangming sont très populaire. Il préconise l'identité de la connaissance et la pratique. Alors les savants se dévient de son intention primitive: mettre plus d'attention à la connaissance. Au contraire, Wang Fuzhi souligne l'importance de l'action et de la pratique. D'après lui, d'une part, la connaissance est la condition de la pratique, prenons un exemple, si un charpentage ne songe pas à l'idée de la table, il ne la ferra jamais; d'une autre part, la pratique est le résultat de la connaissance, si ce charpentage se borne à son concept, il est impossible pour lui de l'avoir, puisqu'il faut un processus pour pratiquer la connaissance. Son autre avis, la pratique est difficile mais la connaissance est facile, le premier doit se mettre avant le dernier, qui est impliqué par le premier, ils se fonctionnent l'un l'autre.
Wang Fuzhi est le sage de la philosophie classique de la Chine. Son systhème philosophique représente le centre des recherches de la philosophie chinoise antique, font réapparition des théories de l'epistemologie philosophique et les déploient. Avant l'introduction de la philosophie occidentale, ces théories signalent le niveau le plus haut des esprits philosophiques traditionnelles.