Fraction Chan: compréhension de la plus grande intelligence dans le sourire

Malgré d'une fraction bouddhique, Chanzong est différent des autres fractions comme la fraction de la connaissance, la fraction Tiantai etc. C'est parcequ'il ne voulait pas construire le systhème complex du monde, qu'il espère comprendre le plus profondement le bouddhisme à travers d'abandonner le système et de ne pas écrire. Depuis cette fraction, la question centrale du boud-dhisme chinois a changé de Qu'est-ce que c'est que le inonde à Comment connaître le monde. Chanzong a ouvert la porte à la science de la dynastie des Song et des Ming.

Chan, c'est une contemplation, un état et aussi un angle spécial du monde. Ici, pour comprendre Chanzong il faut avoir le méthode de prendre soudain conscience. D'après la légende du bouddhisme, quand Sakyamuni enseignait le bouddhisme, il a pris une fleur, il n'a rien dit en souriant. Ses élèves se sentaient étonnés excepté Mocaille, car il a saisi l'intelligence du bouddhisme. Et après, Chanzong soutient communiquer avec coeur pour désigner cet instant où on saisit le sens du sourir.

Bien que Chanzong soutienne ne pas écrire ses bibles, il a laissé encore beaucoup de documents. Le sixième chanzong, l'initiateur Huineng (638-731) de la groupe Zhengtong de Chanzong ne connait pas un mot, mais son Bible Tan, enseigné par lui même, enregistré par les autres, est un chef-d'oeuvre bouddhique, Huineng est donc le seul bonze qui possède les bible.

En 661, à l'âge de soixante ans, le cinquième chanzong, Maître Hongren a décidé de donner son manteau et son pot aux autres bonzes. Tous les gens préféraient certainement à la première bonze Shenxiu. Cependant pour les obtenir il faut écrire un éloge. Voilà son ode :

Le corps est comme l'arbre de la bodhi

Le coeur est comme la terrassse du miroir clair

Il faut les nettoyer souvent

Pour ne pas barbouiller les poussières.

Tout le monde étaient satisfait de l'éloge de Shenxiu sauf le Maître. Alors Huineng a passé par hasard, il l'a entendu et puis il savait que Shenxiu ne comprenait pas bien le bouddhisme. Il a fait écrire son éloge :

Le bodhi n'a pas en fait le corps

Le miroir claire n'est pas aussi la terrasse

Il n'y a rien originairement donc

Comment barbouiller les poussières

Ce point de vue est vraiement meilleur que Shenxiu , surtout la phrase II n'y a rien originairement, donne une impression extrêmement émerveillante.

De peur que Huineng ne rencontre une machination, le Maître lui a suggéré avec ses yeux d'aller dans sa chambre à la nuit, il lui a donné son manteau et son pot. Après avoir obtenu les instuments et l'essence du bouddhisme, Huineng est sorti cette nuit-là et s'est retiré dans les forêts de la provence de Guangdong pendant presque 14 ans. En 676, il est arrivé dans le Temple Faxing de la capitale, en voyant des disciples discuter que si c'était le vent ou bien la banderole qui bougeait. Huineng leur dit: Ce qui bouge, ce n'est pas le vent, pas aussi la banderole, mais c'est votre coeur. Sa poursuite du bouddhisme a déjà atteint le plus haut dans les théories du bouddhisme à la chinoise.

Huineng n'a pas saisi le bouddhisme qu'après avoir lu Le Sutra du Diamant. A son avis, tout le monde possède la nature de règle, les personnes ordinaires sont tellement séduites par les apparences qu'ils ne peuvent distinguer la nature avec coeur. En effet, tous les règles sont les manifestations naturelles de la nature. Un coeur clair produit des mille de règles. Pour donner ces lois mobiles il faut avoir un coeur immobile. Si l'on fait un attachement, son coeur dirigera une certaine chose concrète, dans ce-cas là, on perdra la nature.

Voilà les principes de Chanzong: les doctrines sont donnés seulemrnent à leurs disciples sans être écrit, Si l'on peut saisir la nature, on peut comprendre le bouddhisme. Cela était considéré comme la grande sagesse qui conduisait le peuple à gagner au Nirvana.

Le coeur et la chose n'ont pas la différence essentielle. Ainsi, il n'y a pas la distinction entre eux. Si le coeur est touché, il arrive des événements, c'est parce qu'il n'a pas de barrières entre eux.                                                                     
Par conséquent, Chanzong a pour le centre de l'epistemologie de prendre soudainement conscience et de pratiquer le bouddhisme. Comme ce que Chanzong dit: la différence entre le bouddha et le peuple, c'est seulement une idée; Même si un homme méchand comme assassin, s'il peut prendre soudainement conscience de ses fautes, il deviendra la bouddha sur le champs. Ce principe réduit la distance entre le bouddha et les gens ordinaires.

Les façons de donner le bouddhisme de tous les maîtres sont très particulières, par exemple, le persiflage, la parole secrète, même le frappement, ou l'injure. Les innombrables affaires de Chanzong constituent aussi un travail magnifique dans l'histoire culturelle et philosophique de la Chine.

La fusion du coeur et de la chose Chanzong, ce point de vue a influencé beaucoup les philosophes de la Dynastie des Song et des Ming, formant aussi dans l'histoire de la Philosophe les importans documents théoriques. Li Ao de la dynastie des Tang a fondu sa doctrine de Regagner la nature de l'homme, comme un autre essentiel document.