Confucius (Kong Tseu) : Piété filiale est la racine de la bonté

Confucius(551-479 avant J.C.), son prénom Qiu, surnom Zhongni,Confucius il est né et a vécu pendant la période du Printemps et Automne, son pays natal, le pays du Lu(Aujourd'hui, c'est la ville du Qufu dans la province du Shandong). Il est descendu d'une famille comtale dans le pays du Song. Quand il est né, son père atteint déjà à un âge avancé, mais sa mère est encore en pleine jeunesse, elle a seulement une dixaine d'années. Malgré son sang bleu, il a perdu son père à l'âge de trois ans, sa famille tombe et il ne peut que mener une vie misérable avec sa mère. A l'âge de dix-sept ans, il a perdu sa mère et est devenu orphelin. Très jeune, il doit vivre seul. Il a travaillé comme comptable et berger. Il doit gagner sa vie, en même temps, il faut étudier. Au lieu de se soumettre au sort, il a établi un but de lire et d'éduquer. Avec des efforts de toute sa vie, il est devenu le pi- I onnier de l'école confucianiste.

Quand le duc est au pouvoir, Confucius assume plusieurs I postes: gouverneur de la ville Zhong Du, ministre de la Construction publique, ministre de I la Justice, etc. A l'âge de 52, il travaille comme premier ministre sur le poste du ministre de la Justice. Mais, à cause d'un I désaccord parmi les familles au pouvoir, il est obligé de démissionner. Désormais, il voyage dans les pays comme Qi, Wei, Song, Chen, Chu, en espérant pouvoir réaliser son ambition politique, mais chaque fois il est déçu sans obtenir la confiance du roi. Quand il est très vieux, il retourne au pays Lu et pratique l'enseignement. Il a plus de trois mille disciplines dont 72 deviennent des gens éminents. A part l'enseignement, il réorganise et arrange les documents comme Livre des poète, Livre de l'histoir, Record des rites et Livre de la musique. Tous ces documents deviennent plus tard les Classiques de la culture traditionnelle de la Chine et constituent le centre de l'éducation politique chinoise.

Les Anecdotes sont une collection de ce que Confucius dit et fait. Ils sont organisés et arrangés par ses disciplines et les successeurs. A travers les Anecdotes, on peut voir la pensée philosophique et politique de Confucius.

Confucius observe non seulement intimement les affaires humaines, mais aussi il comprend les mouvements dans la nature. Il était une fois, il est au bord d'une rivière en disant: « Hélas, la vie est comme cette rivière, elle ne cesse de se dérouler ni jour ni nuit. » Il soupire que les choses du monde sont comme la rivière, cette pensée correspond justement à celle d'Heraclitus qui dit: « Toutes les choses passent d'une façon fluide et constante, et null ne peut rester permanent. » Confucius dit encore: « Qu'est-ce que le ciel (Tian) a à dire? Rien. ». Le ciel ne dit rien, mais les quatre saisons se succèdent et les cultures poussent. Cette phrase montre sa compréhension sur la créativité de la nature. Le soi-disant « différent des pensées philosophiques occidentales. De cela, on peut voir que les philosophes chinois et ceux occidentaux s'intéressent aux problèmes analogues, mais chaque partie développe sa façon de pensée particulière.

Confucius met l'accent sur la réalité et évite de son possible les problèmes vides. Quand il discute avec ses disciplines sur la question de la mort posée par TseuLu, il répond: « Comment peut-on connaître la mort sans savoir vivre ? », il veut dire, si on ne comprend pas le sens de la vie, on ne devraitoas se soucier de la mort. Il ne dénie pas absolument l'existance des diables et des dieux, mais il ne fait pas beaucoup d'attention à discuter si la spiritualité existe ou pas, par contre, il souligne l'essence de la cérémonie du sacrifice. D'ailleurs, il propage qu'on « respecte les diables et dieux mais on les éloigne », c'est-à-dire, on peut idolâtrer les diables et dieux, mais il faut garder la distance et cesser de passer beaucoup de temps à discuter leur existance ou pas. Le Confucianisme n'est pas la religion au sens strict, masi dans la vie courante des anciens, il joue un rôle analogue à celui de la religion.

Ce dont Confucius parle le plus, ce sont les problèmes philosophiques politiques sur la vie. Le Confucianisme qu'il a établi se revêtit une caractéristique sacré et surdescendant, ce caractéristique est indispensable pour élever des sentiments humains. L'esprit du Confucius est lié à son satatut sociale: il est noble. Cet esprit combine ses expériences de la vie et son sentiment de sauver le pays et aider les gens, il se développe ensuite par des confucianistes d'une génération à une autre. Enfin, cet esprit coule dans le sang de la culture chinoise ainsi que son esprit.

Confucius
Le vieux Confucius réarrange avec ses nombreux élèves Livre des poètes el Livre de de l'histoire

Le centre de l'enseignement confucianiste est la Dao de la culture. Confucius se nomme successeur de la culture florissante des Zhou (1046-256 avant J.C.). Il montre qu'un homme de lettres doit avoir une largeur d'esprit et une détermination solide, car la tâche du successeur de la culture est importante et dure, il faut faire beaucoup d'efforts.

Confucius a parlé avec ses disciplines qui prononcent chacun leur ambition ou vocation. Certains veulent devenir fonctionnaire ou commerçant, seulement un discipline Zeng Dian, après avoir joué au luth, il dit lentement son rêve: par un jour du mars ou d'avril, avec des amis intimes, et avec ses petits-enfants, ils vont ensemble nager dans la rivière du Yi, ensuite, ils se baignent dans le vent paisible et frais sur la plateforme à côté, enfin, ils reviennent en chantant. A l'entendre, Confucius admire sincèrement son rêve. Cette histoire montre le caractère libéral de Confucius. Il éduque ses élèves à avoir l'esprit de surmonter, ce qui représente l'idéal de la philosophie confucianiste. Comme le Confucianisme peut élever l'esprit des sujets, les gouverneurs des époques suivants y prête l'importance, comme cela, le Confucianisme devient le courant principal de la culture chinoise.

Dans les pensées confucianistes, la relation fondamentale est celle entre père et fils. Dès qu'un être humain est tombé dans ce monde, pour lui, le lieu de sa naissance et ses parents sont inchangeables, donc, la relation familiale est inchoisissable. Selon le Confucianisme, puisqu'on ne peut pas choisir ni éviter cette relation, on devrait chercher à comprendre cette relation innée et intime, et élève là-dedans une piété filiale.

D'après les « Anecdotes », la piété filiale est la nature radicale de l'homme, elle vient de la conception sur l'état originale de la vie elle-même. A travers cette conception, l'homme fortifie son amour pour ses parents qui l'élèvent. Une fois cet amour s'étend sur les autres, il est proche de ce qu'on appelle « Ren » (l'humanité). D'après Confucius, la piété filiale est la règle principale d'être un homme. Si on conçoit sérieusement ce point, le Dao se développera lentement. Seulement après avoir la piété filiale, les parents et l'amour qu'on atteint le monde de l'humanité.

Partant de la piété filiale pour les parents, Confucius va plus loin et évoque d'autres relations sociales, comme celles entre souverain et sujet, mari et femme, entre amis, etc. Il développe encore cette pensée dans le domaine de la gérance sociale et propage qu'on gouverne moyennant la vertu et le rite, au lieu de faire simplement appel à la loi ou loi pénale. D'après lui, la fonction de la loi se limite seulement dans l'empêchement des malfaiteurs, mais elle ne peut pas faire aux sujets s'apercevoir de la honte et refuser de faire des méfaits avec conscience. Comme souverain, il devrait orienter et éduqtier ses sujets par la vertu et le rite. Ayant avoir la conscience de la honte, les sujets savent seulement lesquels ne se font pas. Comme cela, de la culture personnelle à la famille, D'après les « Anecdotes », la piété filiale est la nature radicale de l'homme, elle vient de la conception sur l'état originale de la vie elle-même. A travers cette conception, l'homme fortifie son amour pour ses parents qui l'élèvent. Une fois cet amour s'étend sur les autres, il est proche de ce qu'on appelle « Ren » (l'humanité). D'après Confucius, la piété filiale est la règle principale d'être un homme. Si on conçoit sérieusement ce point, le Dao se développera lentement. Seulement après avoir la piété filiale, les parents et l'amour qu'on atteint le monde de l'humanité.

Partant de la piété filiale pour les parents, Confucius va plus loin et évoque d'autres relations sociales, comme celles entre souverain et sujet, mari et femme, entre amis, etc. Il développe encore cette pensée dans le domaine de la gérance sociale et propage qu'on gouverne moyennant la vertu et le rite, au lieu de faire simplement appel à la loi ou loi pénale. D'après lui, la fonction de la loi se limite seulement dans l'empêchement des malfaiteurs, mais elle ne peut pas faire aux sujets s'apercevoir de la honte et refuser de faire des méfaits avec conscience. Comme souverain, il devrait orienter et éduqtier ses sujets par la vertu et le rite. Ayant avoir la conscience de la honte, les sujets savent seulement lesquels ne se font pas. Comme cela, de la culture personnelle à la famille, la société, Confucius établit des doctrines, il propose qu'on commence par la relation entre les hommes et développe une relation sociale harmonieuse.

Le centre de la pensée philosophique de Confucius est « Ren » (l'humanité). Selon son caractère chinois, le « Ren » « iZ » est composé par « ~L » (deux) et « À » (personne), il est encore l'homophone de « », c'est-à-dire, l'enceinte. A l'original, le point de départ de la relation entre l'homme et le monde, c'est l'amour entre mère et fils. Dès le moment où le cordon ombilicale relié la mère et l'enfant est coupé, cette relation n'est plus la même. Leur lien en chair et en os est devenu celui en sentiment et amour. Le sens figuré du « Ren » est la bonté, c'est-à-dire, étendre l'amour familial aux relations sociales où les hommes sont séparés. Plus tard, Mencius développe ce « Ren » de Confucius et établit un système politique philosophique, il élargit le sens du Ren d'un individu jusqu'à un monde (le Tianxia).

Confucius
Plate-forme de l'abricotier, au temple de Confucius Qufu, dans la province du Shandong

Dans les Anecdotes, Confucius propose de réaliser « Ren » par « propriété rituelle » . Il souligne qu'on fond du coeur, l'homme devrait avoir un coeur sincère et bon. La propriété ritale a des vraies qualités, sans cela, les rites rites sont seulement des formes hypocrites. Dans la communication humaine, le plus important, c'est le sentiment porté en autres, la forme est secondaire. Cette conception et compréhension de Confucius sur l'original des sentiments humains est précise et profonde.

Le « JunTseu » (homme exemplaire) dans les Anecdotes est tantôt le modèle moral, tantôt le leader à l'hiérarchie supérieure. Confucius souligne l'influence de l'homme exemplaire. S'il est gentil avec ses parents et ses amis, les gens ordinaires imiteront sa conduite. S'il est leader alors sous l'influence de sa bonne conduite, les gens l'entoureront avec respect, tout comme les étoiles entourent l'Etoile du Nord.

Pour réaliser le « Ren » , Confucius propose encore la méthode de se discipliner et observer la propriété rituelle. Un homme doit s'apercevoir que ce qu'il désire pour lui-même nuira aux autres, alors il' faut surmonter son désir et revenir à l'état idéal de la propriété rituelle pour obéir aux règles fondamentales de la communication rituelle interpersonnelle.

Si chacun peut penser et faire comme cela, alors le monde sera un monde de l'humanité. D'après Confucius, ce rêve n'est pas si lointain, vouloir, c'est pouvoir. Au fait, chacun est capable de faire cela, seulement il ne veut pas le faire, une fois qu'il pense à autre, ne serait-ce que pendant un petit inastant, il realire « Ren ». à ce moment-là.

Confucius indique qu'un homme, lors de son succès, il peut aider les autres à réussir. Pour savoir vivre il faut mesurer pleinement ses relations avec autres. Sil ne veut pas une chose, il ne doit pas la pousser aux autres; de même, s'il ne veut pas qu'on le traite de telle façon, il ne doit pas le faire aux autres comme cela.

Pour réaliser son réve politique de « Ren » (l'humanité), Confucius propose de le concrétiser par la « propriété rituelle » . Plus tard, Mencius développe cette règle en théorie pragmatique.

Comme pionnier de l'école confucianiste, Confucius lui-même ne prévoit pas peut-être que, depuis l'époque des Han, on dépricie toutes les autres écoles et respecte seulement celle confucianiste, le Confucianisme est considéré par des souverains comme l'idéal légitime, et son influence descend pendant des milliers d'années, et jusqu'à nos jours. Et cette influence ne se limite pas dans le territoir chinois, il est diffusé aussi, dans la péninsule de Corée, au Viêtnam, au Japon, et aux Singapoures. Pendant l'époque moderne, la civilisation occidentale est introduite en Chine, sous le mariage de le civilisation chinoise et occidentale se produit un mouveau Confucianisme.

De nos jours, dans ce monde qui ne cesse de produire des crises: la crise écologique, crise spirituelle, crise morale, crise de la valeur, etc. Nombreux sont ceux qui proposent que les ressources de la philosophie confucianiste puissent donner des inspirations pour résoudre ces problèmes. La renaisssance du Confucianisme en Chine, sa diffusion dans le monde, et son interprétation monderne, tout cela est en voie de devenir le nouveau phénomène et point chaud académique auxquels les hommes portent de plus en plus d'attention. Tout comme dit M.Zhang Dainian, philosophe et historien moderne: « L'époque où l'on critique à l'aveugle le confucianisme est révolue, l'époque où l'on respecte à l'aveug le le confucianisme est aussi révolue, l'époque où l'on étudie d'une façon scientifique le confucianisme est venue ». Confu ius est Chinois, mais le confucianisme qu'il a créé est mondial.